Tout a commencé en 2021,
autour d’un café…
Louis Morissette et Phil Roy, ayant le désir de développer leur propre entreprise de café en canette, sont entrés en contact avec Jonathan Robin de la Station agro-biotech, qu’ils connaissaient d’amis communs.
Sans trop s’en rendre compte, cette petite idée a fait du chemin dans la tête des co-fondateurs, et a rapidement mené à l’agrandissement de l’usine de la Station agro-biotech, afin de pouvoir mettre sur pied le projet.
« Les gens qui me suivent savent que je suis un grand amateur de café. De bon café ! C’est un rituel quotidien, une vraie passion que j’aime partager. »
- Phil Roy
Avec des amateurs de bons cafés comme co-fondateurs,
l’importance du produit a toujours été la priorité numéro 1 pour l’équipe. Après plus d’un an de R&D et un nombre incalculable de recettes testées, nous en sommes parvenus à offrir 4 saveurs aux profils différents, mais ayant tous comme premiers ingrédients le café et le lait. Ajoutons à tout ça l’objectif d’offrir un produit sain, sans ingrédients imprononçables et permettant d’avoir l’énergie nécessaire provenant uniquement de la caféine.
Ce projet novateur ne s’est toutefois pas fait sans défis! En effet, pour commercialiser un produit laitier sans réfrigération, il se doit d’être stérilisé. C’est d’ailleurs cette complexité qui explique le peu de joueurs dans l’industrie en ce moment, car pour produire ses cafés, la Station agro-bitech a fait l’acquisition d’un autoclave à canettes en continu, une première au Canada.
« Le café en canette est un marché encore inexploité, c’est un beau produit qui a le potentiel de devenir une marque forte au Québec. »
- Louis Morissette.
C’est ainsi que le petit projet d’agrandissement de l’usine de la Station agro-biotech s’est transformé en un projet d’envergure, incluant non seulement un deuxième agrandissement, l’implantation d’une chaîne de production entièrement automatisée, mais également l’embauche d’une quinzaine d’employés. Au total, c’est plus de 30 millions de dollars qui auront été investis dans le projet, avant même qu’une seule canette ne soit commercialisée. C’est ce qu’on appelle croire en son idée.